Test de paternité prénatal
Depuis ces dernières années, les demandes d’analyse ADN suite à des doutes sur la paternité ont fortement augmenté.
La plupart des pères les demandent pendant la grossesse mais certains le font juste après la naissance, et plus rarement, dans la première année de vie de l’enfant.
Actuellement, 1 père sur 10 fait ce genre de test. Et effectivement, le nombre de test de paternité s’est vu multiplié par 40 ces dernières années.
Ceci ne fait que traduire le fait quede plus en plus de parents se demandent de qui est l’enfant, faisant alors appel à ce genre de services. Dans certains cas c’est le père qui a des doutes, dans d’autres, la mère peut ne pas être certaine de qui est le père.
Test de paternité prénatal, un test très demandé
Le test le plus commun est le test de paternité prénatal, qui permet de savoir qui est le père biologique pendant la gestation du foetus. Ce test à l’avantage d’avoir une fiabilité à 99,99%, comme celui réalisé après la naissance.
La principale différence avec ce dernier se trouve dans l’échantillon analysé. Ce n’est pas à partir d’un écouvillonnage buccal ou d’échantillon de cordon du bébé que l’on travaille, mais à partir de prélèvement de liquide amniotique, de sang de la mère ou des villosité choriales grâce à une simple analyse.
En règle générale, ce type de test se réalise pour connaître l’identité du père, mais il existe des motivations plus complexes pour le demander.
Un exemple peut être le droit à des bénéfices sociaux ou légaux, ou la construction d’un historique médical plus précis, qui pourrait déjà informer sur le sexe du bébé, une possible infection utérine ou anomalie génétique héréditaire, voire chromosomique. Ces derniers cas sont plus fréquent si la mère avait un âge supérieur à 35 ans lors de la grossesse.
Test de paternité prénatal invasif
Les parents doivent garder à l’esprit les risques qui existent avant de demander ce type de diagnostic, car même si les méthodes ont beaucoup avancé depuis ces dernières années et que le risque est de seulement 0,5% il est possible de causer des infections au foetus, ou même de provoquer un avortement accidentel ou certaines complications.
Pour cette raison, s’il n’est pas nécessaire de le faire, il est préférable d’attendre la naissance du bébé pour réaliser le test de paternité. Dans ce cas, il n’y a plus de risque ou de questions éthiques (nous sommes ici dans le cas de test ADN, non pas dans la recherche de pathologies foetales).
Biopsies choriales
Biopsie choriale: elle est réalisée entre la 10ème et la 13ème semaine de grossesse. Le médecin, grâce à un transducteur à ultrasons, détermine la position du foetus pour ne lui causer aucun tort et introduit un cathéter très fin par voie vaginale. De cette façon, on extrait des cellules des villosités choriales qui recouvrent la membrane la plus externe qui entoure le foetus et qui en contient le matériel génétique. Dans 98% des cas, ces tests permettent de conclure. Dans le cas contraire, on proposera de faire une amniocentèse.
Amniocentèse
Amniocentèse: quand le foetus a 14 semaines, il faut procéder de façon différente. L’amniocentèse se fait à travers l’abdomen et peut parfois nécessiter une anesthésie. L’aiguille s’insert dans l’abdomen et arrive jusqu’à l’utérus pour en extraire un échantillon de liquide amniotique de la poche dans laquelle se trouve le foetus. En général, on poursuit la croissance de ces cellules en laboratoire pendant une à deux semaines avant de faire le diagnostic.
Test de paternité non invasives
Le test de paternité non invasives sont la meilleur option pour éviter des dommages au foetus, voir un avortement accidentel. Ce type de test n’impliquent aucun risque pour le foetus et la mère, puisqu’ils ne nécessitent ni d’échantillon direct du foetus ni intervention au niveau de l’utérus de la mère.
Le seul risque qu’il faut garder en tête est le même que celui d’une prise de sang conventionnelle. Il y a néanmoins une condition aux test non invasifs: il faut que la 9ème semaine de grossesse soit entamée. Dans le cas contraire, il n’est plus possible d’assurer la fiabilité des résultats.
Il est aussi important que la mère n’ait pas reçu de transfusion sanguine les mois précédents la grossesse. Il est impossible de réaliser ces analyses sur des grossesses multiples.
Il n’y donc besoin que d’un échantillon standard de sang de la mère, à partir duquel on extrait l’ADN foetal que l’on comparera à postériori avec l’ADN du père. L’ADN foetal entre dans le courant sanguin de la mère à travers la paroi placentaire, où les nutriments et l’oxygène s’échangent entre la mère et le bébé.
L’échantillon de la mère se récupère dans des tubes spéciaux et celui du père dans des tubes avec de l’EDTA. Avec les échantillons, il est demandé d’adjoindre l’autorisation signée des personnes se soumettant au test, tout comme un document d’identification et une photo d’identité
Ainsi, il s’agit d’un test très simple pour lequel il n’est pas nécessaire de faire appel à une anesthésie ou à des interventions invasives. L’échantillon est extrait rapidement, comme lors d’une prise de sang banale.
Il n’est donc pas nécessaire de consulter un spécialiste pour l’extraction des tissus, comme dans le cas des test invasifs et qui explique leur coût plus élevé. De plus, une fois la prise de sang effectuée, il est possible d’avoir les résultats en trois jours.
Myadnlab.com propose les deux types de tests, autant les méthodes invasives traditionnelles comme les plus novatrices non invasives, avec des résultats optimaux dans les deux cas. Si vous souhaitez faire un test, n’hésitez pas à vous mettre en contact avec nous soit à travers notre site internet o ou bien en appelant le 0034973261554.
Ces test de paternité en prénativité peuvent être réalisé n’importe où en Espagne ou à l’Étranger (France, Portugal, USA, Italie, Royaume-Uni, ou le reste de l’Europe et l’Afrique du Nord) puisque nous envoyons nos test à votre domicile.
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